Maria030184

Toutes mes réponses sur les forums

Affichage de 1 message (sur 1 au total)
  • Auteur
    Messages
  • en réponse à : syndrome de jonction #108126
    Maria030184
    Participant

    Bonjour!

    J’ai 23 ans.
    Jusque maintenant, je ne me suis pas trop intéressé à ce syndrome qu’on m’a diagnostiqué en 2003.

    J’ai une dilatation pyélo calicielle du rein gauche et un retard d’élimination du rein de 6 minutes environ.

    Apparemment, rien de bien trop grave d’après ce que les urologues consultés m’ont dit. Pas besoin d’opération.

    Seulement, je fais des cystites à répétitions, j’ai mal au rein dès que je boit une plus grande quantité de boissons.

    Mais j’aimerais avoir un avis sur ce qui vient de m’arriver.

    Mardi dernier, je me rend aux urgences pour une douleur persistente aigüe côté gauche (dans le dos et qui me transpersait jusque sous les côtes) qui s’emplifiait malgré la prise de diantalvic.
    Ayant rencontrée une infirmière que je connaissais, je la supplie de me soulager. A 21h, je prend donc 2 efferalgan codéiné.
    La douleur se dissipe. Et ayant longtemps attendu mon tour et n’étant toujours pas passé, à minuit, je rentre dormir.

    Le lendemain matin, je suis réveillé par cette même douleur. sauf que j’ai en plus une fièvre à 39°C5. Je me rends à nouveau aux urgences. Là, je n’attends pas, je suis mise sous perf: 1g de rocéphine + perfalgan. La douleur est atroce.
    On me diagnostique une pyélonéphrite. J’ai apporté avec moi tous les clichés concernant mon syndrome de jonction. Je ne m’attendait pas à une pyélonéphrite.
    Je rentre chez moi avec une prescritpion de tavanic et de contramal pour la douleur + primpéran (car nausées importantes).

    Malgré le traitement (+ j’ai rajouté du doliprane toute les 5-6h), ma fièvre ne chute pas pendant 72h. je vomit.

    Le vendredi, je me rend d’urgence chez un urologue qui m’hospitalise.

    Il me fait un scanner (UIV), une radio et un bilan sang le jour meme.

    Il me demande de rester à jeûn dans le cas ou il avait à me poser une sonde JJ.

    Je suis perfusé et on me passe 2g de rocéphine + 160mg de gentamycine le vendredi et le samedi.

    Je suis très douloureuse surtout la nuit et lorsque je suis couchée.

    Le dimanche, on me déperfuse et on me donne un comprimé de tavanic per os.

    Le lundi, un urologue vient m’annoncer que les examens fait vendredi ne montre pas d’évolution du syndrome de jonction depuis 2003, mon rein n’est pas atteint (bonne nouvelle) et que mes douleurs était dues à un lumbago!
    On me remet cette lettre:
    « Mon chère confrère,
    Votre patiente X a été hospitalisée le X pour une douleur lombaire ayant évoquée une colique néphrétique mais l’UIV était normale, le tableau évoquait plûtot un lumbago. »
    et on me donne un RDV de consultation pour dans un mois.

    Qu’est ce que je dois penser? Que s’est il passé? Quelles sont vos remarques à ce sujet?

    Merci par avance.
    Maria.

Affichage de 1 message (sur 1 au total)