Quelqu’un serait-il en mesure de me faire savoir s’il est possible de mesurer, ou seulement constater la profondeur d’une mélancolie chez un sujet âgé (plus de 75 ans) non atteint, jusqu’alors, de troubles psychiatriques ?
Par ailleurs, est-il admis qu’un sujet atteint « d’accès mélancolique » fasse tout pour masquer son état ?
Je cherche des témoignages et/ou des références scientifiques.
Merci aux érudits.
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